Les créations visuelles Appar-Être continuent de s’améliorer et de toujours rechercher des espaces, scènes et lieux où James et les autres personnages peuvent jouer.
Les premières séries d’images d’Appar-Être concernaient la ville. Cette fois-ci, James s’aventure un peu plus loin et déambule dans les campagnes et alentours des grandes villes. Espaces vides, champs, terrains abandonnés, murs troués : autant de micro-paysages surprenant que l’on peut trouver si nous y prêtons attention. Finalement, ne serait-ce pas là le but de ces Appar-Être ? Révéler un détail, transformer une image fixe à la manière d’un tableau où le dessin prend vie et indique que les choses, parfois inanimées, sont en réalités vivantes. Aujourd’hui, dans ce processus de création, il est difficile de dire qui précède qui pour constituer le rendu final : est-ce le dessin, la posture du personnage ou la photo ? Les réponses peuvent être multiples et dépendent de l’œil du spectateur. C’est à vous de vous interroger sur cette forme d’illustration : est-ce James qui inspira la photo ? Est-ce la photo qui inspira James ?
Au travers de l’errance développée chez certains des personnages de James & Cie, il semblait important de faire quitter la ville au profit de la nature : la campagne. La thématique de la « flânerie » souvent illustrée chez James correspondait bien à ces espaces perdus où une simple barrière de pierre devient le point d’observation d’un champ.
Voici les nouveaux Appar-Être, vous pouvez aussi les retrouver sur la page Facebook de James & Cie – Les écarts, le compte Twitter et sur Instagram.
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